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Maroc-Amérique :Histoire et diplomatie
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25 novembre 2006

L'assassinat de Mehdi Benbarka"Hassan2 est innocent"

Les journalistes Marocains et surtout ceux de la presse libre s'acharnent sur le régime marocains en l'impliquant directement dans l'affire Mehdi Benbarka oubliant la citation des sages qui dit:"quand t-ils ont inventé le mensonge on a inventé l'histoire"la question du mensonge. ... Le mensonge paraît répréhensible en tant qu'énoncé et non comme acte : mentir pour obtenir quelque ... pire que le demander " normalement ". Mais le mensonge n'est pas seulement un ...acte mais un crime contre tout une nation...et voila des question pour nos journalistes...vous savez que ben barka avait disparu le 29 octobre 1965, en plein Paris. Cette affaire retentissante, impliquant autorités marocaines et policiers français, qui y avait contribué ..mais la verité et c'est le contraire car en 1965 les services secrets du Maroc étaient incapable ni par compétances qui lui manquaient surement car le pays était à peine sortie du regime coloniale et ses services n'avaient meme pas les moyens ni l'experience dans le domaine car le service secret du Maroc se baser dans le temps sur une simple politique celle du batton et la carotte (sans autre compétance, et ses agents profite du manque d'impunité ) alors ils étaient imcapable de mener une assez grande opération en françe ...c'est vraie que les mains marocaines étaient presente d'une façon claire et stupide comme si tout est organiser pour les montrer du doits?
On voulait surement se débarasser de Mehdi benbarka en collant l'affaire au Maroc et son régime...comme les hommes dont les noms étaient cité au PV des juges étaient indignes de confiance même du roi Hassan2 et que meme certains d'eux a voulu renversser le régime car ils se croyaient protéger par des puissances étrangères et mê^me si dans la verssion ont trouve le suivant'
( Le plus illustre opposant marocain en exil, Mehdi Ben Barka, dont la famille vient d'obtenir des papiers pour pouvoir enfin retourner au Maroc, avait disparu le 29 octobre 1965, en plein Paris. Cette affaire retentissante, impliquant autorités marocaines et policiers français, avait contribué à ternir le règne du roi Hassan II, décédé en juillet dernier. Celle-ci n'a jamais été totalement élucidée, malgré deux instructions judiciaires en France. Ce vendredi-là, Mehdi Ben Barka a rendez-vous devant la brasserie Lipp, Boulevard Saint-Germain à Paris, avec un journaliste et un cinéaste, qui envisagent un film sur la décolonisation. Il est 12h15. Deux policiers de la brigade mondaine, Louis Souchon et Roger Voitot, exhibant leur carte, invitent Ben Barka à monter à bord d'une voiture, où se trouve également Antoine Lopez, un agent des services du contre-espionnage français. Il est conduit à Fontenay-le-Vicomte (Essonne), dans la villa d'une figure du milieu, Georges Boucheseiche. Dès lors, on perd sa trace. Nul ne reverra vivant le principal dirigeant de l'Union des Forces Populaires du Maroc, condamné à mort par contumace par la justice marocaine, et son corps ne sera jamais retrouvé.

« Coïncidence : le général Mohamed Oufkir, ministre marocain de l'Intérieur, Ahmed Dlimi, directeur de la sûreté nationale marocaine, et un certain Chtouki, chef des brigades spéciales marocaines, se trouvaient à Paris à ce moment-là. Cette affaire soulève en pleine campagne électorale en France l'indignation des milieux politiques francais, notamment l'opposition de gauche, François Mitterrand en tête. Le chef de l'Etat, le général de Gaulle, dans une conférence de presse du 22 février 1966, minimise la part des services secrets français et fait porter toute la responsabilité sur le général Oufkir. Plus tard, un repris de justice, Georges Figon, affirmera avoir vu Oufkir tuer l'opposant marocain avec un poignard décroché d'une panoplie dans la villa. L'instruction judiciaire, menée par le juge Louis Zollinger, aboutit à l'inculpation de treize personnes dont le général Mohamed Oufkir, Ahmed Dlimi, Marcel Leroy-Finville, un des responsables du SDECE (les services secrets français d'alors), Antoine Lopez et Georges Figon. Un premier procès s'ouvre le 5 septembre 1966. Six accusés sur treize sont dans le box. Les sept autres, dont Oufkir, Dlimi et Boucheseiche, font défaut. Deux coups de théâtre relancent l'affaire : d'une part l'un des accusés, Figon, est retrouvé mort à Paris et l'enquête conclura à un suicide. D'autre part, Dlimi se constitue prisonnier.
Un second procès s'ouvre le 17 avril 1967 en l'absence de la famille Ben Barka, retirée des débats après le décès subit de ses principaux avocats. Le verdict du 5 juin 1967 acquitte Dlimi et les protagonistes français, à l'exception de Lopez et Souchon, condamnés respectivement à huit et six ans de prison. Mohamed Oufkir, désigné par la justice comme le grand responsable de la disparition de Ben Barka, est condamné par contumace à la réclusion à perpétuité. La condamnation par la justice française d'un ministre étranger en exercice, fait sans précédent dans le droit international, devait provoquer le gel des relations franco-marocaines pendant deux ans. »
Mehdi ben barka ne menecé pas le régime Hassan2 mais la reussite de son congré donnera une indépendance politique et économiques à trois continants ce qui mettra en danger les puissances coloniales et étrangères ""les services secrets compétants dans le temps étaitent des quatres pays dérigeant le monde1/CIA 2/ moussade3/ dgse4 les services secrets britaniques...mais qui d'entre eux menace Benbarka "peut être aucun d'eux ...?et si Benbarka revenu dans le temps aux maroc ils n'aura surement pas menacer le pouvoir car Hassan2 et si puissant ..mais il menacera peut être des politiciens qui voudraient s'emparer du pouvoir qui sont-ils? Les journalistes n'avaient surement pas poser la question.
signé:acharif moulay abdellah bouskraoui tel:+21268109597
www.mohamed6.canalblog.com

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